vendredi 29 octobre 2010

Journée Mondiale sans Voiture



22 septembre : Journée Mondiale sans voiture

Pourquoi une journée "En ville, sans ma voiture !" ?Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.Globalement, ce sont tout de même près de 1500 villes dans une quarantaine de pays se seront mobilisées en 2004.Depuis 2007, cette journée mondiale tend à être remplacée par une semaine de la mobilité qui vise à promouvoir l'usage des transports en communs...


Historique


Les premières expériences de journées sans voiture remontent à
1956, lorsque la crise de Suez force certains pays à prendre des mesures drastiques pour économiser du carburant. En Belgique, aux Pays-Bas et en Suisse, celles-ci prendront la forme de dimanches sans voiture entre novembre 1956 et janvier 1957. Ces opérations seront répétées en Suisse et en Belgique en 1973 à l'occasion de la crise pétrolière.[1]
La première manifestation officielle moderne eut lieu en juin
1996 à Reykjavík en Islande. Les autorités y avaient organisé une journée sans voiture pour encourager les habitants à une mobilité plus propre, moins consommatrice d'énergie et moins dangereuse.
Carte représentant les pays participants aux manifestations de la Semaine européenne de la mobilité et de la Journée sans voitures
En France, c'est
La Rochelle qui fut la première, le 9 septembre 1997, à réserver son centre-ville aux piétons, rollers, vélos, tandems, planches à roulettes etc.
Depuis
1998, un nombre croissant de villes y ont adhéré (avec un nombre maximal de près de 1500 villes en 2005). En 2006, le nombre total a diminué, tout en impliquant de nouvelles villes participantes.
L'initiative fut officiellement lancée à échelle européenne en 1998, inscrite dans une Semaine de la mobilité qui présente une thématique différente chaque année (par exemple le
changement climatique en 2006). L'idée de situer cette journée à date fixe, le 22 septembre semble souvent céder devant les difficultés à l'organiser un jour de semaine dans les grandes villes[réf. nécessaire].
Certains pays ou villes, comme
Bruxelles ou Anvers en Belgique organisent cette journée le samedi ou le dimanche précédant le 22 septembre. L'interdiction de circuler est alors totale pour les véhicules à moteur dans un périmètre très étendu (161km² pour Bruxelles) : seuls les transports en commun (gratuits ce jour-là), les taxis, les véhicules de secours et les voitures dont les conducteurs sont munis d'une dérogation peuvent y circuler.

Bibliographie:

Nom du site :
Journée sans voiture - Wikipédia
Disponible sur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_voiture
Consulté le: 29/10/2010
Photo disponible sur:
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/60/Bruxelles_sans_voiture_2005_-_11.jpg/200px-Bruxelles_sans_voiture_2005_-_11.jpg

Pollution dans les voitures


Les voitures polluent: c'est le constat de milliers de gens, dont les automobilistes. Les pollutions sont chimiques et sonores.(fortes chaleurs, absence de vent).

La pollution automobile n'est pas l'apanage des grandes villes car les polluants voyagent dans l'atmosphère. Elle touchent aussi les campagnes et à plus grande échelle elle a des conséquences sur l'équilibre global de la planète.

Les conséquences de la pollution sur l'organisme sont bien sûr à déplorer et la recherche des motoristes comme celle des pétroliers a entre autres pour but de minimiser ces phénomènes. La recherche médicale de son côté fait de nombreux progrès, si bien que la pollution automobile ne doit pas porter le chapeau pour tout le monde. L'industrie et l'agriculture ont elles aussi des effets très nuisibles sur la santé, bien supérieurs à ceux de l'automobile. Il faut surtout noter que les accidents de la route sont à l'origine de drames bien plus nombreux et bien plus graves que la pollution automobile.

Les types de gaz de pollution

presentation des gaz

Les NOx (Les oxydes d'azotes)Les NOx sont formés pendant la combustion des carburants. On appelle les NOx le monoxyde d'azote NO et le dioxyde d'azote NO2.

Le SO2 ( Le dioxyde de soufre):Le dioxyde de soufre (SO2) vient de la combustion des carburants contenant du soufre (gazole). Le SO2 est en partie responsable des pluie acides.

L'O3 (L'ozone):L'ozone présente dans l'atmosphère ( une des couches de l'atmosphère ) qui sert à protéger des rayons du soleil, est un polluant lorsqu'il est dans l'air que nous respirons car il provoque le rétrécissement des respiratoires.

Le CO2 (Dioxyde de carbone):Il est responsable de l'effet de serre qui réchauffe l'atmosphère de notre planète et entraine des changements du climat.

Le CO ( Monoxyde de carbone):Le CO entraine l'asphyxie.

Les métaux : es métaux lourds ( le plomb par exemple ) provoquent des maladies neurologiques graves.

Bibliographie :

Non sit :AfriKblog

Date : 25/10/10

Adresse URL : http://elonga.afrikblog.com/archives/2008/09/02/10350423.html

Non sit :Center Blog

Date : 25/10/10

Adresse URL : http://www.google.es/imgres?imgurl=http://www.ecologiaverde.com/wp-content/2008/09/contaminacion-coches.jpg&imgrefurl=http://www.ecologiaverde.com/bajad-los-humos-a-los-coches/&h=343&w=470&sz=12&tbnid=eQyGP-NgVhxLTM:&tbnh=94&tbnw=129&prev=/images%3Fq%3Dcontaminacion%2B%252B%2Bcoches&zoom=1&q=contaminacion+%2B+coches&usg=__mk6d64HtXCkx-GUh3fkxMr-ykpc=&sa=X&ei=GorKTInUNsLtOfrIob4B&ved=0CC4Q9QEwAg

vendredi 15 octobre 2010

Journée Mondiale de l'Alimentation

16 octobre
L'objet de la Journée mondiale de l'alimentation, proclamée en 1979 par la Conférence de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), est de faire mieux connaître les problèmes alimentaires dans le monde et de renforcer la solidarité dans la lutte contre la faim, la malnutrition et la pauvreté. Cette journée commémore la date de la fondation de la FAO en 1945. En 1980, l'Assemblée générale des Nations Unies a accuelli favorablement la célébration de la Journée, considérant que "l'alimentation est une condition nécessaire à la survie et au bien-être de l'être humain et qu'elle est un besoin fondamental.
Plus de 800 millions de personnes dans le monde souffrent de la faim chronique et la malnutrition. Certains progrès ont été accomplis dans la réduction de la faim et dans l'amélioration de l'état nutritionnel d'hommes, de femmes et d'enfants. Cependant, le manque d'investissement destinés à la réduction de l'insécurité alimentaire, de la faim et de la malnutrition dans beacoup de pays en développement risque de compromettre la réalisation des objectifs du Sommet mondial de l'alimentation (SMA) et du Millénaire pour le dévellopement (OMD) à l'horizon 2015. Il faut donc redoubler d'efforts pour combattre la faim.
Bibliographie:

Nom du site: JOURNÉE MONDIALE DE L'ALIMENTATION

Disponible sur: http://www.un.org/depts/dhl/dhlf/food/index.htlm

Photo disponible sur: http://www.un.org/depts/dhl/food/images/food.jpg

Consulté le: 14/10/10

Nom du site: Fivims

Disponible sur: http://www.fivims.org/?lang=fr

Consulté le: 15/10/10


jeudi 14 octobre 2010

Pourquoi faire du développement durable?




C’est d’abord un constat : la situation actuelle n’est pas durable sur les plans environnementaux, économiques et sociaux.

Quelques exemples

· Actuellement, 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires non renouvelables.

· Les énergies fossiles (pétrole, gaz…) s’amenuisent rapidement, l’eau se raréfie, les forêts disparaissent peu à peu, les ressources marines diminuent.

· De plus en plus de pays connaissent la pénurie d’eau, de nourriture et de matières premières. Et partout, la pauvreté augmente.

Si l’on continue à vivre de la même manière, il faudra des ressources équivalentes à celles de deux planètes Terre pour subvenir à nos besoins en 2050…

Ce constat est aujourd’hui largement partagé au niveau mondial. Cette prise de conscience émerge depuis les années 1970.

En 1971, face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, le Club de Rome exhorte à la croissance zéro

Les quantités d’eau prélevées pour l’agriculture, l’industrie et les villes ne pourront augmenter indéfiniment, car il s’agit d’une ressource limitée. Par ailleurs, prélever, traiter, stocker, distribuer, évacuer et nettoyer l’eau a un coût énergétique, économique et social d’autant plus important que les populations sont défavorisées. Même dans les pays riches où l’eau du robinet est de bonne qualité, des eaux sont embouteillées et transportées avec un impact important en termes d’environnement. A l’échelle de la planète, 178 milliards de litres d’eau en bouteille ont été consommés en 2006. De plus en plus, nous devrons nous adapter à de nouveaux usages de l’eau, fondés sur le refus du gaspillage, sur le retraitement et la réutilisation. Dans les habitations, les eaux usées de l’évier peuvent resservir pour l’arrosage du jardin ou l’alimentation d’une chasse d’eau. Les toilettes à compost économisent 50 litres d’eau potable par jour et par personne. La récupération de l’eau de pluie, les robinets à faible débit, et des comportements plus sobres sont autant de mesures simples pour préserver ce bien précieux.

Bibliografie:

Non sit:Développement
Date:14/10/10